Jean Lebrun..le ..sauvage
en bleu ...de chauffe
...petite sérendipité.. .........en bleu Klein
Comme son auditeur » Alain jardinier ermite et hirsute » ,du café Michel à Strasbourg,
JL s’avoue un peu sauvage : » Bref, je crois avoir contribué à le sortir de la sauvagerie, sans doute parce que je suis moi-même, en dépit des apparences, un sauvage qui déteste les circuits du sens commun. » in « Projet CERAS 2007 n° 300
A l’occasion de la sortie de son livre : » le journaliste en chantier » , 2008Bleu autour édition
Intéréssant de revoir l’interviw de JL par l’équipe de la librairie« Tropiques »
http://tinyurl.com/yze6eap (1)
http://tinyurl.com/ylneuuy (2)
http://tinyurl.com/ygb3tbh (3)
http://tinyurl.com/yf7n3of (4)
http://tinyurl.com/yzaee2t (5)
Captation sauvage de l’émission « travaux public en chantier»au « café « El Sur »
Rencontre autour d'un " livre artisan " le 04/11/08
Héléne ,une auditrice, citée par JL: « dis moi,Jean quand vas tu casser ta pipe ? gueule d'ordure « Bertol Brecht ( citation originale," Une autre histoire d’amour " :Tu r’tires cette pipe de ta grande gueule, ordure ?
texte complet en commentaire )
« La radio est une affaire de "regard » .. « convergence numérique » Jean Lebrun ...
lundi 19 octobre 2009
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1 commentaire:
acfa-paris
''Ich, Bertolt Brecht'' - Version française des textes & distribution des rôles.
Je t’ai vu, t’arrivais d’Birmanie
Tu disais qu’il fallait que j’te suive
Tu disais : t’auras pas d’soucis
J’t’ai d’mandé c’que tu f’sais dans la vie
Tu m’as dit aussi vrai que j’suis là
Je travaill’ quelque part aux ch’mins d’fer
Et je n’ai rien à fich’ sur la mer.
Tu parlais trop, Johnny,
Tout était faux, Johnny
Dès l’premier mot, Johnny, tu m’as trompée
Ah, c’que j’te hais, Johnny
Quand t’es là qui ricannes, Johnny
Tu r’tires cette pipe de ta grande gueule, ordure ?
Refrain :
Surabaya Johnny, pourquoi t’es si méchant ?
Surabaya Johnny, bon Dieu… et moi qui t’aim’ tell’ment.
Surabaya Johnny, pourquoi je souffre tant ?
Tu n’a pas d’coeur, Johnny, et moi je t’aim’ tell’ment.
2
Y’avait sept dimanch’ par semaine
Au début quand j’te connaissais pas
Mais au bout de quinz’ jours à peine
Y’a plus rien qui t’plaisait en moi.
Qu’il est long le chemin jusqu’au Penjab
De la source du fleuve à la mer :
J’ose même plus me r’garder dans un’ glace
J’ai déjà l’air d’une vieille rombière.
Y t’fallait pas d’amour, Johnny
Y t’fallait du fric, Johnny
Moi, bonne idiote, Johnny, je n’voyait plus qu’ta bouche.
Tu as tout exigé, Johnny
Et j’en ai r’mis, Johnny
Tu r’tires cette pipe de ta grande gueule, ordure ?
3
J’ai jamais bien cherché au juste
Où t’avais pu trouver c’nom-là
Mais du haut jusqu’en bas de la côte
Y’avait pas d’client plus connu que toi.
Un beau jour dans un lit à cent balles
J’entendrai le tonnerre de la mer
Et voilà qu’tu t’en vas sans rien dire
Ton navire est à l’ancre en bas.
Tu n’a pas d’coeur, Johnny
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